HISTORIQUE DU MOUVEMENT INTERNATIONAL

« LES AMIS DE LA NATURE »

Naissance d'un idéal

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Nous sommes à Vienne, en Autriche, en l'an de grâce 1895. Les ouvriers viennois vivent dans des conditions épouvantables. Leurs journées de travail durent jusqu'à 16 heures, même le samedi. Que faire le soir, en sortant des usines enfumées ? Rentrer chez soi n'avait rien de bien gai, car les logements sont le plus souvent exigus, insalubres et sans confort. Alors les hommes passent le plus clair de leurs soirées au café ou dans les salles de jeu, s'enivrant d'alcool, de fumée et de plaisirs factices. 

N'y avait‑il donc pas d'autre solution ? Quitter l'atmosphère enfumée des ateliers, pour se replonger dans celle des tavernes, c'était tomber de Charybde en Scylla. Aussi, certains hommes s'émeuvent. Il y a là Georg Schmiedl, un instituteur, Alois Rohrauer, un ouvrier métallurgiste, son fils Jean, qui est étudiant en philosophie, ainsi que Karl Renner, étudiant en droit. Notons que ce dernier sera, plus tard, le premier Président de la République autrichienne.

historique1_2Cette poignée d'hommes organise, en mars 1895, une première réunion, à laquelle assistent environ quarante personnes. Où peut‑on trouver un air pur et sain qui permettra la régénération des bronches de ces pauvres ouvriers, sinon au sommet des montagnes, dans les vertes forêts, au contact de la Nature ! On décide donc dès lors la fondation d'une association dont les statuts prévoient de conduire ses membres vers les belles cimes ou au creux des vallons verdoyants, afin qu'ils puissent en découvrir toutes les beautés et toutes les richesses. Cette association prendra le nom d'Amis de la nature. 

Un idéal Ami de la Nature était né. Et, telle une hydre géante, il va pousser ses tentacules jusqu'aux principales cités ouvrières d'Autriche, où de nouvelles sections seront créées. Bîentôt les frontières seront franchies, et Zurich, en Suisse, verra naître son mouvement Ami de la nature. Peu de temps après, c'est à Munich, en Allemagne, que s'éveillera le même idéal, qui contaminera la Belgique, les Pays‑Bas, la Suède, la France, la Grande‑Bretagne, Israël, et même les États‑Unis d'Amérique.

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Au cours des années qui s'écoulent, le nombre des membres n'a cessé d'augmenter. Les quelque quarante pionniers ont su communiquer leur enthousiasme à plus de 300000 personnes, qui forment aujourd'hui un grand mouvement international, qui peut se vanter de cultiver toujours le même idéal et qui possède à travers le monde près de 700 chalets ou maisons de vacances, construits eu aménagés dans des sites enchanteurs. 

Toutes les sections sont d'abord solidaires de leur groupement national, mais sont aussi affiliées à l'Internationale Ami de la nature, dont le siège est à Zurich.
 

 

 

Évolution du mouvement à travers la France

image2_1C'est en 1912 qu'apparaît le mouvement Ami de la nature en France. C'est à Strasbourg qu'est fondée la première section, suivie en 1913 par celle de Mulhouse, puis en 1914 par celle de Colmar. L'été 1914 voit aussi le jour d'une section parisienne.

Malheureusement, la Première Guerre mondiale vient freiner plein de beaux espoirs. Mais sitôt les hostilités terminées, à Mulhouse les anciens membres se regroupent. A Strasbourg, on met un peu plus de temps pour se resaisir, et ce n'est qu'en 1927 que renaîtront des cendres non pas une, mais deux sections. Il s'agit des sections de Strasbourg‑Ville et de Strasbourg‑ Neudorf.

Entre‑temps, en 1923, dans les faubourgs nord de Strasbourg, à Schiltigheim, se crée également un groupement Ami de la nature; et, à la même époque, voient le jour les sections de Thann, Guebwiller, Sainte‑Marie‑aux‑Mines et de Munster. En 1928, l'association parisienne revoit le jour, et en 1929, des Amis de la nature se regroupent à Nancy. Un an plus tard, c'est à Grenoble que naît une nouvelle section. N'oublions pas, en novembre 1929, la création de notre section de Bischheim, dont nous allons parler un peu plus loin.

image2_2En 1929, le siège du comité régional, qui se trouvait jusqu'alors à Mulhouse, fut transféré à Colmar. Ce comité fonctionnait alors pratiquement comme comité national, étant donné qu'il y avait peu de sections à l'intérieur de la France. L'organe d'information, l'Ami de la nature, fut alors imprimé en français et parut tous les deux mois. Ce journal, en 1934, fut imprimé à Bruxelles et devint dès lors international

En 1935, deux nouvelles sections viennent s'ajouter à celles déjà existantes. Ce sont celles de Remiremont et de Saint‑Dié.

En 1936, sous le Front populaire, le mouvement Ami de la nature prend ‑encore plus d'essor. Il y avait alors trente‑quatre sections à travers la France; mais elles ne disposaient encore que de dix‑huit chalets. 

En 1937, le congrès national, qui était le dixième du nom, décida le transfert du siège national à Paris.

Mais survient la Seconde Guerre mondiale. Le mouvement A.N. subit un nouveau coup de frein. A la fin des hostilités, la vie des sections françaises reprend timidement. Beaucoup de chalets étaient, sinon détruits, dans un état lamentable, car la plupart d'entre eux avaient été confisqués pendant !a querre. Presque tout était à refaire! 

En juin 1948 se réunit un congrès extraordinaire à Dijon. Ce congrès voit naître le mouvement des Amis de la nature « français » . Un nouvel organe d'information est créé, uniquement pour la France; plus tard, il deviendra de nouveau international. On pouvait recenser à cette époque 46 sections françaises, et elles étaient réparties en 15 régions.

Lentement le mouvement suit son chemin. De nouvelles sections se forment un peu partout, de nouveaux chalets s'édifient. Le dynamisme « Ami de la nature » n'est pas un vain mot. Et aujourd'hui, on dénombre en France une bonne centaine de sections, une cinquantaine de chalets et au moins autant de terrains de camping. Lors d'un recensement, en 1978, l'Union nationale comptait environ 11000 membres, ce qui prouve, si besoin est, la vitalité de notre mouvement.

L'association de Bischheim

 

historique 4_1Comme nous l'avons signalé plus haut, c'est fin 1929 que fut fondée notre section de Bischheim. A l'origine de cette création se trouvent quelques Bischheimois, issus de la section voisine de Schiltigheim. La nouvelle association reçut un accueil très favorable aussi bien de la part de la municipalité que de celle de la population bischheimoise.

La nouvelle section part dès lors à la quête d'un chalet. Elle est, à l'époque, conduite par notre actuel président d'honneur, le camarade Charles Kiehl, qui devait assumer cette fonction pendant une bonne quarantaine d'années. En 1931, on réussit à acquérir une ancienne ferme, au lieu‑dit Muckenbach, annexe de la commune à Grendelbruch. C'est le 15 mai 1932, le dimanche de Pentecôte, qu'eut lieu l'inauguration de notre cher « Muckenbach ».historique_4_2

En 1930, la section comprenait une quarantaine de membres. Ce nombre ne cesse d'augmenter, et dès 1939, nous pouvons nous enorgueillir de nos 150 adhérents. Hélas! survient la Seconde Guerre mondiale, et bien des espoirs s'évanouissent. L'occuppant dissout notre société et notre chalet est mis sous séquestre. Comment il nous fut restitué et dans quel état, vous pourrez le lire un peu plus loin, dans le chapitre plus précisément consacré à l'évolution de notre refuge.

 

 

 

 

 

historique5_1Après la guerre donc, notre association se reforme. De nouveaux camarades viennent se joindre à notre beau mouvement, et aujourd'hui les « Amis de la nature », section de Bischheim, atteignent le chiffre de 346 membres et forment une des sections françaises numériquement les plus fortes.

Permettez‑moi maintenant de vous entretenir de nos membres dirigeants. Comme vous le savez déjà, c'est notre camarade Charles Kiehl, président fondateur, qui a tenu les rênes pendant une quarantaine d'années. Arrivé à un certain âge, il préfère laisser la place à plus jeune que lui, et c'est alors le camarade Lucien Martzloff qui va mener la barque pendant trois années, jusqu'en 1966. Charles Kiehl, qui n'a rien perdu de sa vitalité, revient alors encore une fois, de 1967 à 1968. Le jeune Albert Filliger prend la suite et accepte le mandat pendant deux années, c'est‑à‑dire en 1969 et 1970. Et depuis lors, c'est notre actuel président, Charles Schott, qui a pris la relève et qui conduit notre section avec une grande abnégation et une patience sans limite. Il saura nous mener vers un avenir prometteur.

historique5_3Parlons maintenant, si vous le voulez, de quelques‑unes de nos entreprises en dehors de nos activités les plus courantes, dont nous vous entretiendrons un peu plus loin.

Par exemple, nous avons organisé, sous l'égide de Lucien Martzloff, alors président, des échanges culturels franco‑allemands. De jeunes Amis de la nature français sont allés passer d'agréables vacances dans des camps installés en Allemagne, entre autres à Singen, Radolfzell, Herrenberg, Wiesenthal et Moosbronn. En revanche, de jeunes Allemands sont venus passer ces mêmes vacances en France, à la 'Faisanderie, près de Paris, à la Schlucht, et en 1965 à Muckenbach. Ces camps ont été de grandes réussites.

Notre association envoie naturellement des délégués à tous les congrès départementaux et participe aussi, tous les deux ans, au congrès national. Notre comité bischheimois se réunit tous les derniers lundi du mois, à notre siège. D'autre part, une réunion mensuelle, agrémentée souvent de projections de diapositives, a lieu tous les premiers lundi du mois, également à notre siège, où d'ailleurs se tient une permanence tous les jeudis.

HISTORIQUE DE NOTRE REFUGE « MUCKENBACH »

 

historique6_1A peine âgée de quelques mois, notre jeune section des Amis de la nature de Bischheim se met à la recherche d'un terrain pour y édifier son refuge. La création d'un tel gîte fait, entre autres, partie des statuts de l'Internationale « les Amis de la nature » à Zurich ; statuts auxquels notre association est liée.

L'acquisition d'une ancienne ferme au lieu‑dit Muckenbach, annexe de Grendelbruch, est chose faite en 1931 pour la somme de 36000 de nos bons et très anciens francs. La Caisse d'épargne de Bischheim concéda une première hypothèque de 16 000 F. 

Nos membres fondateurs devaient être dotés d'un courage exemplaire et d'une volonté farouche, comme seuls des idéalistes peuvent en posséder, pour vouloir rassembler les fonds nécessaires et réaliser leur rêve. Mais rien ne put les arrêter, et c'est à la Pentecôte 1932 qu'un nouveau refuge ouvre ses portes à tous les A. N. du monde entier. Ce fut l'inauguration et la pose de la première pierre d'un long périple de joies et de peines. 

historique6_2Par la suite, ce refuge sera aménagé pendant les quelques heures de loisir existantes à l'époque (le terme « congés payés » ne figurait pas encore au Petit‑Larousse) et connut un vif succès parmi la classe laborieuse.

En 1934, les utilisateurs de ce lieu d'hébergement ont déjà à leur disposition 2 chambres‑dortoirs, 1 salle de séjour, 1 cuisine et 1 installation sanitaire. 

1935. ‑ Un pré est acheté pour recevoir les premiers adeptes du camping.

1936. ‑ Le grenier fait place au 3e dortoir. 

1937. ‑ L'ancienne étable cède aux installations d'une 2e cuisine. D'autres travaux d'aménagement continuent à progresser jusqu'en 1939.

Hélas, la guerre, avec tous ses tourments, interdit aux AN. l'accès du refuge. Le mouvement « Amis de la nature » est banni, et le refuge est exproprié sans commentaires par les nazis. 

historique7_11945. ‑ Après l'occupation, le refuge est mis à la disposition de la Ire armée française. A partir de ce moment, la justice française se met en marche, et il faut aux A.N. de Bischheim engager un procès de réintégration du plein droit au registre du cadastre. Ce droit leur fut accordé trois ans après, en 1948, par un jugement du tribunal de Saverne. C'est ainsi que, pour la deuxième fois, notre société devient propriétaire de sa propriété. Cette anecdote démontre bien un chapitre du drame de l'Alsace et de sa population

1948. ‑ Une fois revenus dans nos biens, et les rangs rajeunis par l'afflux d'une nouvelle génération, les travaux reprennent de plus belle. Dans l'année même, le 4ème dortoir est réalisé. A ce moment déjà, 80 personnes trouvent une place pour dormir.

1949. ‑ Transformation de la grange en salle commune, couloir et une pièce pour garde‑manger avec casiers individuels.

1951. ‑ Édification d'un hangar permettant de stocker le matériel et les combustibles.

1952‑53. ‑ Installation de l'électricité et de l'eau courante.

historique7_21954‑57. ‑ Une fois les deux grandes bases du confort réalisées, la modernisation des installations sanitaires est une suite logique. Chose est faite par l'aménagement d'une salle de toilette, 3 W.‑C. et un urinoir reliés à une fosse septique à eau courante. Un deuxième pré de 75 ares devient notre propriété et agrandit nos terrains de jeux et de camping.

1958. ‑ Réfection de la toiture et achat du nouveau matériel de literie.

En cette même année, un camarade passe de paisibles vacances dans un refuge vosgien. Mais, ne pouvant rester inactif, il se met à dessiner un plan et mijote de cette façon une grande transformation du « Muckenbach ».

1959‑62. ‑ Il est vrai que notre mouvement étant toujours en expansion et ses adhérents recherchant de plus en plus le calme et avec cela le repos du week‑end bien mérité ou un séjour de détente plus ou moins long dans un coin îdéal tel que se situe notre « Muckenbach ».

Le succès du refuge, toujours grandissant, la fréquentation y devient de plus en plus dense. Quoique le refuge ait amplifié ses réalisations, les possibilités d'hébergement s'avèrent bientôt insuffisantes, et de loin; de même, les grands dortoirs communs ne sont plus très appréciés par les visiteurs.

historique8_1Et comme nous avons toujours eu à coeur de marcher dans la voie que nous ont tracée nos aînés cet état de chose nous oblige à penser sérieusement à des travaux de transformation.

Il s'agît de créer des dortoirs individuels dits « familiaux » avec 4 à 5 lits. Cette possibilité nous est donnée, car sur toute la longueur du bâtiment et sur une largeur de 5 mètres environ, nous disposons d'une surface inutilisée située sous le toit en très forte pente. Après étude faite et plans soumis à l'approbation de notre section, nous envisageons de relever cette toiture côté ouest et de rehausser l'annexe.

Ceci nous permet de créer au 1er étage 4 nouvelles chambres individuelles d'une superficie d'environ 12 mètres carrés chacune, un W.‑C. avec lavabo et une deuxième salle de séjour d'environ 48 mètres carrés.

La division de l'ancien dortoir « dames » nous donne deux autres pièces, cependant qu'au 2e étage nous pouvons réaliser 2 vastes chambres communes nous permettant d'y coucher 18 à 20 personnes dans chacune. L'exécution de ce projet débute fin octobre 1959 pour s'achever vers la fin de l'année 1963. 

Pour réaliser un programme d'une telle envergure, appel fut lancé à la C. D.A. F. et aux autorités de la mairie de Bischheim, desquelles nous obtenions des subventions appréciables. Un prêt hypothécaire de la Caisse d'épargne de Schiltigheim compléta avec nos propres moyens l'effort financier à réaliser.

hstorique8_2Mais cela ne suffisait pas, et il a fallu presque 10000 heures laborieuses sacrifiées aux loisirs de la part de nos membres. Cette tâche fut menée à bout par des camarades aussi courageux et idéalistes que nos pionniers. 

L'inauguration officielle de la nouvelle maison de vacances familiales d'aujourd'hui eut lieu le 27 juillet 1962, tout en sachant que beaucoup de travaux de finition restaient à faire.

1964‑66. ‑ Renouvellement de la toiture avec le remplacement des tuiles mécaniques par un revêtement en éternit L'achat d'une baraque d'habitation, son démontage à Bischheim, le transport au Muckenbach pour y abriter un atelier de bricolage et une salle de jeux pour les enfants (ô combien nécessaire) s'avéra bientôt superflu, car elle fut vite revendue. 

La révolution ou l'évolution universitaire et lycéenne se fait aussi sentir au sein de notre société. Le moment est venu pour que les anciens laissent la place à une nouvelle génération réformatrice.

historique8_31967‑69. ‑ Installation d'une cuisine moderne par éléments. Réfection de la salle de séjour du rez‑de‑chaussée. Aménagement de nouveaux lavabos. Remplacement du chauffage classique bois‑charbon par le chauffage au gaz. 

1971. ‑ A partir de cette année, une nouvelle équipe se forme et se soude sous l'égide de notre camarade‑président Charles Schott. 

Le goût de nos membres demande de plus en plus de confort et de modernisation. Les travaux de ce genre se poursuivent à une cadence régulière d'année en année.

1971‑72‑73. ‑ Réfection des chambres familiales, les corridors et le bureau du service de refuge avec pose aux plafonds de plaques en polystyrène. A la même époque, la peinture extérieure est refaite.

historique91974‑78. ‑ C'est au tour des dortoirs 1, 8 et 9, du réfectoire et du W.‑C. au 1er étage d'être remis à neuf. Il y eut également une grande opération de sécurité‑incendie pour la mise en conformité de nos installations électriques et de nos issues de secours.

Un nouvel aménagement du terrain de camping est devenu nécessaire suite à l'interdiction d'utilisation du pré situé derrière la chapelle. 

En 1978 une nouvelle clôture autour de notre propriété remplace l'ancienne vétuste. Le bloc sanitaire du terrain de camping est doté d'une isolation et les lavabos sont rendus fonctionnels. A l'intérieur du refuge, c'est la cuisine qui reçoit un nouveau visage par la pose d'un faux‑plafond en aluminium et d'une hotte.

1983 Remplacement de la toiture du refuge.

1986 Remplacement de toutes les fenêtres du refuge par du double vitrage.

        Jumelage avec les sections de Guebwiller dans le Haut-Rhin et de Völklingen en Allemagne.

1987-1988 Remplacement du plafonds du réfectoire du rez de chaussée, réfection des murs et du sol.

1990 Construction et rénovation des sanitaires hommes et femmes dans le refuge, installation de nouvelles douches et commodités.

1992 Réaménagement de la cuisine.

1997 Construction d'un nouveau chemin d'accès

1998 Rénovation de la chambre 9 le dortoir est scindé en deux.

1999-2000 Construction d'une nouvelle annexe composée d'une salle polyvalente et d'un local technique.

 

Avant

ancienne annexe

   

  Après

annexe

2001 Mise en peinture de la façade de l'annexe.

2003 Rénovation de la façade du refuge.

2005 Installation d'une détection incendie dans l'ensemble du refuge. Mise en place de ferme portes.

2006 Le Muchenbach passe aux énergies renouvelables et préserve l'environnement

  • Travaux d'isolation intérieure et rénovation totale des chambres du 1er étage.
  • Création d'un local chaufferie et d'un silo pour la mise en place d'une chaudière à granulés de bois.
  • Pose par les bénévoles d'un chauffage central sur l'ensemble du refuge.
  • Pose de panneaux solaires tubulaires pour l'eau chaude et le complément de chauffage sur le toit du refuge.
  • Pose de panneaux solaires tubulaires pour l'eau chaude des sanitaires camping sur le toit de l'annexe.
  • Enlèvement des citernes à gaz apparentes et remplacement par une citerne enterrée. 

2007 
    Rénovation du corridor
couloirentrée

  • Arrachage des anciens lambris.
  • Mise en place d'un nouveau faux plafonds.
  • Pose d'un carrelage moderne sur les murs et le sol.
  • Installation d'un nouvel éclairage.


    Internet et Wifi arrivent dans le refuge. Accès à tous les membres qui le souhaitent.
    
    Rénovation du bureau


    Rénovation totale des sanitaires du camping

sanitaire camping                    sanitaire camping